Echanges entre Alphonse Torchecul le bûcheron et sa patronne, Madame la Baronne du Lys.
- M'dame la Baronne, j'avons quelque chose à vous montrer.
- Mon brave bûcheron Torchecul, approchez. Qu'avez-vous donc à me montrer de si impérieux pour interrompre ainsi votre besogne en plein élan ?
- Ben voilà M'dame la Baronne, j'avons c'te sorte d'énorme bûche bien dure qu'est apparue dans mon pantalon depuis qué'qu'temps, même qu'elle arrête pas de m'démanger vu qu'elle est comme ça à cause que votre colossale culasse de vieille pouffiasse lui remue juste sous l'nez ! Comme qui dirait que vot' paire de miches lui ferait les yeux doux, à c't'enflure de carotte à foutre qui m'asticote au fond du caleçon...
- Torchecul mon fidèle homme à tout faire, voulez-vous dire en d'autres termes que cet infâme et odoriférant objet que vous tenez en pogne aurait pour suprême objet d'émoi mon chaste séant ?
- En qué'qu'sorte M'dame la Baronne, en qué'qu'sorte... Mais enfin je dirions plutôt que je bandifie et pue comme un bouc en voyant votre large panier à boudins qui se dandine comme une putain de vache ! Votre trou à saucisses, ou rondelle à jus de roustons si vous préférez, ben j'aimerions bien me le farcir, le défoncer, le tripailler, le pourfendre à grands coups d'andouille, M'dame la Baronne. Vous savez, celle qui me pend entre les cuisses et qui en ce moment vous désigne de son doigt turgescent...
- Ha bon ! Ca me rassure. Voyez-vous je n'avais pas bien saisi votre propos jeune ami. Vous voulez dire que, pris par une faim subite au coeur de votre labeur, vous désirez quelques rondelles d'andouillette de Vire en guise de collation, entre deux cassages de bois ? Et ce que vous tenez à la main n'est pas autre chose, bien entendu, qu'un billot que vous venez de fendre... Suis-je insane tout de même ! Figurez-vous que je m'imaginais avoir entendu un discours moins sobre mon brave Torchecul et je...
- Tagueule la Baronne de mes deux, tu comprends donc point que j'avons envie de te déglinguer le potiron, pétasse-à-couilles-de merde ! M'enfiler ta citrouille ! C'est ça que j'veux ! Je veux me taper ton popotin de Baronne ! Viens donc là que je te foute ma foutue pioche veineuse bien dure au fond de ton gros cul, espèce de Baronne-à-bites-de-mes-deux !
- Ha ! Mais je comprends bien cette fois ! Torchecul, vous n'y pensez pas ? Et que dirais Monsieur le Baron ?
- Monsieur le Baron votre époux, il est en ce moment en train de foutre sa longue et noble pine parfumée entre les fesses de la bonniche du curé, vous savez celle qui se laisse régulièrement mettre par Monsieur l'Evêque quand il rend visite à c'pédé d'curé de mes deux...
- Ho ! Ca oui alors, il faut dire que Monseigneur rend souvent visite à notre cher abbé depuis que ce dernier a changé de servante. Cependant mon bon Torchecul, pour en revenir à nos moutons, vous préférez que je vous la serve en petites tranches ou nature, votre chipolata ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire